La Commedia Divina #like4like

 20 octobre 2023   20h   Danse   PT : 20 € TR : 15 € (RSA, demandeurs d’emploi, étudiants, personnes atteinte de handicap), Enfants jusqu’à 12 ans : 10 €   1h 
Conception, Chorégraphie
Antonino Ceresia, Fabio Dolce
Création Lumières
Antonino Ceresia, Fabio Dolce, Oskar Millon
Création costumes
Cyril Liveris
Artiste visuel
Nicolas Clauss
Composition musicale
Romain Aweduti
Interprétation
Sakiko Oishi, Fabio Dolce, Antonino Ceresia, Romain Aweduti
Chargée de développement
Eleonora Romeo
Compagnie
Essevesse
Contacts
Eleonora Romeo - essevesse@gmail.com
Soutiens

Teatri Di Vita – Bologne (Italie), Stalker Teatro – Turin (Italie) Espace Dantza - Pau, Théâtre Golovine - Avignon, Ecole Nationale de Danse de Marseille, Conservatoire Régional du Grand Nancy, Ballet de Lorraine, Spedidam, Ville de Marseille, CD13, Région SUD

Dans le cadre de la semaine italienne

Deuxième volet dantesque de la compagnie Essevesse, La Commedia Divina #like4like offre un regard vivant et dynamique sur un monument de la littérature italienne : « La Comedìa » de Dante Alighieri. Les deux chorégraphes italiens Antonino Ceresia et Fabio Dolce, en collaboration avec l’artiste visuel Nicolas Clauss et le compositeur musical Romain Aweduti, développent un moment chorégraphique, musical et visuel mettant en miroir Dante et notre époque.

Ils s’emparent de « La Comedìa » et mettent en scène leurs combats socio-politiques : la question du genre, la place de l’homme et de la femme, la recherche d’un langage universel, la place du virtuel ou encore la place de l’amour dans notre société. Différents styles de danse sont réunis pour célébrer la recherche d’une écriture chorégraphique inclusive, en résonance avec les expériences riches des interprètes.

Les rôles de Béatrice, Dante et Virgile se baladent durant la performance entre les 4 artistes sur scène, pour s’affranchir de rôles sexués. La musique, les danses et les arts visuels deviennent langage universel de ce moment poétique et esthétique.

La presse en parle
<<La réussite indéniable de cette pièce c’est la danse. Les interprètes sont remarquables de perfection dans ce qu’ils veulent apporter sur le plateau. Les équilibres sont tenus, les pointes parfaitement maîtrisées, les portés inventifs et les solos inspirés... (...) Cette version 2.22 de la Divine Comédie interroge, bouscule et berce à la fois, c’est la force de cette pièce qui vous donnera tout ce qu’il vous faut pour passer une nuit heureuse ou hantée selon que vous êtes ange ou démon...>> Emmanuel Serafini – LE BRUIT DU OFF
<<L'Enfer, le Purgatoire et le Paradis deviennent des prétextes pour faire cheminer une réflexion autour des questions sociétales qui animent les individus. Les corps à la technique parfaite dansent les mutations d'aujourd'hui. Les langage digital, le genre et l’identité, ainsi que la représentation de soi sont le trois temps de cette commedia divina...>> Laurent Bourbousson – Ouvert aux publics
<<Ici les pointes ont droits de séjour comme outil autant qu’objets magiques, magnétiques, transformant les corps en être hybrides, beaux et émouvants. La musique live en osmose avec sa vielle de gambe ajoutant à ce petit miracle, une touche supplémentaire du divin que Dante n'aurait pas renier dans les limbes de sa «divine comédie». De l'audace, toujours pour interpréter une si belle ode à la grâce restituée comme possible dans l’esthétique de la danse d’aujourd’hui.>> Geneviève Charras – L'amuse-danse!