Clarck est ce gamin effronté, égoïste, débordant d’énergie et si attachant. On ne peut s’empêcher avec lui de « faire un petit peu de l’amitié » comme il dit.
Une trame de l’histoire est écrite mais chaque représentation est unique, une symphonie à quatre mains, celles du clown et celles des spectateurs. Un spectacle où humour, poésie et réflexion font excellent ménage.
Un spectacle tendrement décalé qui nous parle de l’existence, du temps « comme un élastique », de l’autre, de l’être.